La question « Qui étaient les Huguenots ? » renvoie à l’histoire des protestants français de confession calviniste, dont le mouvement prit racine au XVIe siècle. Malgré les persécutions (Saint-Barthélemy, dragonnades), les Huguenots ont laissé une empreinte indélébile…
Actualités autour de la généalogie
Secrets de familles : jusqu’où aller dans la recherche généalogique ?
Jusqu’où aller dans la recherche des secrets de famille ? Découvrez conseils, limites et accompagnement généalogique pour éclairer votre histoire.
Maréchal-ferrant : un métier disparu au coeur de nos campagnes
Le métier de maréchal-ferrant, aujourd’hui disparu en tant que profession rurale traditionnelle, a longtemps occupé une place essentielle dans la société française. Bien plus qu’un simple forgeron, le maréchal-ferrant était responsable de l’entretien des chevaux – forge des fers, ferrage, soins de base – indispensables aux transports, aux travaux agricoles et aux armées. Présent dans chaque village, son nom apparaît fréquemment dans les archives paroissiales, actes notariés et registres de métiers, offrant de précieuses informations aux généalogistes.
Retrouver un ancêtre maréchal-ferrant peut révéler des pans entiers de l’histoire familiale : l’atelier transmis de génération en génération, les déplacements saisonniers, les contrats avec les domaines seigneuriaux ou militaires. Chez Actes & Co, nous aidons les descendants à exploiter ces sources historiques pour reconstituer la vie quotidienne et le parcours professionnel de leurs ancêtres artisans.
Le métier de maréchal-ferrant n’était pas seulement un métier : il reflète toute une identité sociale, une maîtrise technique et un héritage familial à redécouvrir.
Acte de baptême et acte de naissance : différences, histoire et intérêt généalogique
L’acte de baptême, document religieux inscrit dans les registres paroissiaux avant 1792, attestait la naissance d’un enfant au sein de la communauté chrétienne.
L’acte de naissance, créé à la Révolution française, est son équivalent laïc, conservé dans les registres d’état civil des mairies.
Tous deux sont des sources indispensables pour la généalogie, permettant de retracer les filiations et de comprendre l’histoire des familles.
Biens sans maître et biens en état d’abandon : comprendre leurs enjeux et leurs solutions
Découvrez la différence entre biens sans maître et biens en état d’abandon, et comment Actes & Co retrouve les héritiers pour sécuriser les successions.
Organiser et transmettre ses recherches généalogiques : conseils pour créer un album ou un livre familial
Organisez, sauvegardez et transmettez vos recherches généalogiques. Créez un album, un arbre ou un livre familial pour partager l’histoire de vos ancêtres.
Retrouver un ancêtre soldat de la Première Guerre Mondiale : comment explorer les archives militaires.
Pour retrouver un ancêtre soldat de la Première Guerre mondiale, la source principale est le registre matricule militaire. Ce document essentiel, conservé aux Archives départementales ou sur le site Grand Mémorial, retrace l’intégralité de son parcours militaire.
Paléographie et écritures anciennes : astuces de professionnel pour vos recherches généalogiques
Les registres paroissiaux et les actes notariés sont de véritables trésors… encore faut-il pouvoir les lire ! Entre les écritures anciennes, les abréviations et les formules juridiques, beaucoup se découragent. Dans cet article, je partage mes meilleures astuces pour apprendre à déchiffrer ces documents, ainsi que quelques exemples concrets. Vous verrez qu’avec un peu de méthode et d’entraînement, même les lignes les plus tortueuses deviennent lisibles.
Quand un document oublié transforme une recherche généalogique
Quand un document oublié transforme une recherche généalogique La généalogie est souvent comparée à une enquête policière : chaque document, chaque indice peut révéler des secrets inattendus....
Les erreurs les plus fréquentes en généalogie et comment les éviter.
Les erreurs les plus fréquentes en généalogie sont : 1) La non-vérification des sources (copie d’arbres en ligne), 2) La confusion d’homonymes, 3) Le manque de sources, et 4) L’ignorance des branches collatérales (frères/sœurs).